Bientôt dans vos librairies pour le plus grand plaisir de vos papilles ! Frissons garantis !
Atelier dessin
Les loulous de Jeanne D’arc ont dessiné des rassemblements de personnes dans une hématique de leur choix
Match de foot pour Gaston, CE1
Cirque pour Oscar, CE1
Jeux Olympiques pour Robin, CP
Jeux Olympiques pour Hadrien, CM1
Si ça va, bravo !
Affiche pour la pièce de théâtre de l’atelier théâtre du clos du CHU de Bordeaux, 2017
Mise en Scène Bertrand Duvallet. Dessin à l’encre
Croquis du printemps
Sketchcrawl à Margaux et vacances dans le Gard
Croquis réalisés dans un carnet avec du papier artisanal fabriqué à la Ruscombe Paper Mill de Margaux par Frédéric.
Sketchcrawl à Margaux
Nous étions au moins 40 amateurs de dessin sur le vif à nous retrouver samedi 29 avril pour dessiner ensemble. Au programme : grand soleil, petit port de pêcheurs, visite de la manufacture de papier Ruscombe Paper Mill, dégustation et dessin au Château Lascombes et drink & draw à la guinguette de Macau. Une très bonne journée !
Balade dans le Gard
Mer de Rochers à côté de Sauve
A Sauve, il y avait sur la place du Docteur Jean Astruc un guitariste qui jouait un air de vieux rockabilly, une mamie habillée en noir qui contemplait la quiétude de la place, une petite fille blonde qui courait en lancant son cerceau.
Alors en fait ce n’est pas un chateau mais une église qui est perchée sur le rocher.
Jardin japonais à la bambouseraie d’Anduze
Dessine-moi une forêt imaginaire
Dessins de paysages imaginaires des enfants de l’école Jeanne D’Arc :
Paysage Bonbons de Carla (CM2)
Paysage avec volcan et chasseur de Robin (CP)
Paysage avec bonhommes imaginaires de Louis (CE1)
Paysage hanté avec dragon de Hadrien (CM1)
Bénédicte Chevallereau
Nous avons rencontré Bénédicte dans la cuisine de son appartement, rue Roger Mirassou, un lieu calme et ensoleillé. Au-dessus du frigo un renard empaillé trône, c’est celui de son colocataire… D’ailleurs la déco ce n’est pas son fort, elle aime les plantes et la botanique, mais elle a du mal à investir les lieux, toujours sur les routes, un peu nomade. Bénédicte nous offre un thé, dans des jolies tasses trouvées dans la rue.
Après avoir étudié aux Beaux-Arts de Bordeaux, Bénédicte fait maintenant partie d’un collectif de théâtre « La grosse situation » qui propose depuis plusieurs mois un Voyage Extraordinaire qui interroge ce que c’est d’être un(e) aventurier(e) aujourd’hui. Elles sont trois femmes : Alice Fahrenkrug, Cécile Delhommeau et Bénédicte Chevallereau ; pour écrire ce spectacle, elles se sont immergées dans une série d’aventures comme aller sur un bateau de pêche ou marcher une semaine le long de l’A65 avant son ouverture, ou encore aller au cœur du piton de la fournaise à la Réunion. Au final c’est une collection de huit expériences que chacune a vécu à sa manière dans lesquelles la troupe entraîne les spectateurs. Quand on lui demande si elle est une aventurière, Bénédicte répond : « J’ai vécu une grande aventure… celle de quitter la ferme familiale en Vendée pour venir à Bordeaux. »
Le prochain spectacle s’appellera France Profonde, il sera joué du 10 au 14 Avril à la Vacherie de Blanquefort. France Profonde questionne ce qui se passe aujourd’hui sur une parcelle agricole. Ces spectacles mettent du temps pour s’écrire, près de trois ans pour France Profonde et pas loin de 4 ans pour le Voyage Extraordinaire. En contrepartie, les spectacles tournent longtemps, a travers un maillage de lieux dans toute la France y compris dans des régions rurales que l’on croit (à tort) désertées par la culture. L’idée c’est de mettre le public en situation, de le questionner à la fois sur les codes du théâtre, mais aussi sur notre société et son fonctionnement. La participation du public est essentielle.
« On s’en fout du décor et de la lumière, le plus important pour nous c’est de transmettre l’émotion, et si on peut juste à un moment incarner un personnage qu’on a rencontré et faire comprendre qui il est, on a gagné. »
Cet automne, le collectif a organisé une randonnée toute une nuit sur la rive droite bordelaise dans le cadre de Panorama. 80 personnes ont randonné avec elles. A un moment, on s’arrête dans un bivouac étonnant, sur un promontoire avec une vue sur tout Bordeaux et en dessous des moutons, un cheval et des papis portugais qui vivent là depuis toujours. Au petit matin, la troupe redescend dans la citée Beausite pour aller à la rencontre de Saïd qui anime une salle de boxe, un lieu décrépi en rez-de-chaussée, qui s’appelle « de l’Ombre à la Lumière ». Il y a des mamans, il y a des enfants, il y a des jeunes et des champions de France de Boxe, des adolescentes qui découvrent leurs corps et Saïd s’occupe de tout ce petit monde. Il aide tous ces gens à trouver un projet de vie, grâce à la boxe. C’est pour ce genre de rencontres et faire découvrir ces personnages que Bénédicte aime son travail.
« On crée des spectacles qui posent des questions.
On fait ça, pour assouvir notre curiosité.»
Dans leur écriture, Bénédicte et ses acolytes ne cherchent pas spécialement à rentrer dans les codes ni à les casser. Par exemple, il n’y a pas de noms de personnages, chacun s’appelle par son nom et parle au public comme on se parle là. Le financement des spectacles se fait sur la durée dans un engagement réciproque des institutions qui soutiennent le projet. Le financement ce n’est pas seulement trouver de l’argent, mais c’est aussi trouver des terrains de jeu, organiser les recherches et le travail de terrain préparatoire. Bénédicte adore son travail, mais elle admet qu’il prend toute la place dans sa vie. D’ailleurs elle qualifie sa relation avec ses deux co-auteurs de « relation de trouple ». Elles sont très mobiles, en voyage elles trouvent des moments pour faire le travail de bureau. La trouple assume même sa volonté de ne s’implanter nulle part et de toujours se faire bousculer. Finalement Bénédicte admet que cette situation correspond aussi au mode de vie de son enfance : s’adapter, ne jamais vraiment se poser. « Les paysans il marchent aux subventions, ils sont dans l’action tout le temps. » Quand le temps des vacances est venu, elles partent loin de tout, au calme, au fin fond de la Creuse, se reposer.
« J’écris comme je parle ».
Bénédicte nous parle aussi de sa passion pour les plantes et de la formation de phytologue herboriste qu’elle a suivi après avoir empoisonné toute une troupe de théâtre en Dordogne avec des champignons vénéneux, un peu par erreur… Bénédicte assume sa sorcellerie sur les gens, dans la douceur de son ton, dans la gentillesse de son approche. On aimerait la suivre un peu partout dans ses aventures. Elle aime les gens, elle adore sa rue, elle connaît tous ses voisins et rêve de les rencontrer en passant de jardin en jardin avec des échelles par-dessus les murets qui séparent les parcelles en cœur d’îlot. Des échelles, comme un pont entre les gens pour créer du lien et apprendre à se connaître. Car la question essentielle de la Grosse Situation est « qui serons-nous à marcher ensemble » et comment faire d’individus distincts, une œuvre collective ?
Texte Caroline Cochet / Dessins Julie Blaquié / Projet « Elles Saint Jean »
EXPO + ATELIER
Atelier BD
Après avoir emmené les enfants à l’exposition BD FACTORY au Frac Aquitaine, nous sommes rentrés à l’Atelier Garance pour dessiner. Premier jeu : mettre en scène un animal de son choix avec un mot choisi au hasard dans un livre de pâtisserie, dans une case, avec un texte écrit en-dessous (en s’inspirant des illustrations et de l’humour de Glen Baxter).
Inès (6 ans dans une semaine) a mis en scène un renne qui apporte un panier de framboises à sa copine :
Maxence a mis en scène un dinosaure se masquant derrière un biscuit :
Romane était très inspirée et a raconté son histoire de lionne et d’œuf dans une vraie BD de plusieurs cases :
Le second jeu consistait à s’inspirer du « black bonhomme michelin » intitulé « The big one world » de Bruno Peinado. Les enfants devaient détourner des personnages issus de la publicité.
Pour chaque personnage que Romane transformait en diable, son frère créait leur version Ange, ce qui donnait : la diabletière, Bicange…
Inès a transposé le bonhomme Haribo au désert, elle a habillé la laitière en inuit et créée une petite bonne-femme pour la marque Bic 😀 :
Sketchcrawl #54 in Bordeaux
Nous nous sommes retrouvés un petit groupe d’une dizaine de sketchers au marché des Capus samedi 28 janvier à 10h30. Déploiement des croqueurs aux 4 coins du marché. Dessins de poissons, de fleurs, de pain, de passants, de vendeurs, de structures métalliques…
Après la pause de midi, on s’est rencardé à l’institut Bernard Magrez où l’on a dessiné des sculptures en bronze, en terre et un mobile aux mille facettes multicolores. Le berger allemand muselé d’un patchwork en crochet aux couleurs psyché a bien plus à Carmen et son papa.
le puzzle de noël
A Noël, nous avons joué au mastermind, au jeu du saladier (ou time’s up), au Uno et au Puzzle… de la mort ! 1000 pièces, dont 500 de feuillage, 200 de sol et 150 de ciel !!! On est arrivé au bout de la bête en 4 jours. Je voyais des pièces de puzzle la nuit quand je fermais les yeux.
Désert
Qu’ils sont beaux dans leurs habits colorés, les 3 rois mages, sur fond de désert jaune !
Dessin d’Inès, 6 ans.